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Le saviez-vous ?

Le Grand-Duché de Luxembourg est membre fondateur de l’ancêtre de l’Union Européenne, à savoir la Communauté Economique du Charbon et de l’Acier (CECA).

Ce seul fait démontre le caractère à tout le moins excessif des attaques régulières dont notre pays fait l’objet, particulièrement en provenance de la France.

Ce petit pays était en réalité un pays pauvre il n’y a ne serait-ce que deux siècles, mais s’est développé à la faveur d’une industrie sidérurgique qui a profité également à la Lorraine. Le pays a mené au cours de l’histoire une politique favorisant l’implantation des sociétés.

Le développement du secteur bancaire ne remonte qu’aux années 70 et surtout 80, et il a sensiblement accéléré le développement d’une économie qui dans les années 60-70 présentait encore une toute autre physionomie.

Aujourd’hui, les textes coercitifs en la matière, loin d’entraîner un désintérêt des sociétés, ont contraint les professionnels du droit et du chiffre à franchir des pas supplémentaires dans le sens de la sophistication, même si la clientèle de particuliers a eu nettement tendance à régresser.

Cependant, l’immense expérience accumulée par les professionnels du droit et du chiffre fait de la place luxembourgeoise, quelque soit l’évolution des législations des pays membres, un pays dans lequel l’expertise en matière de fiscalité internationale continue à être recherchée, il est vrai à la faveur de spécificités législatives locales ayant favorisé la technicité en la matière : ainsi, par exemple, les notions de titres au porteur, de fiducie, de pertes reportables, constituent des véhicules le plus souvent inconnus, dans leur application, de la part des experts-comptables français tout simplement parce que la France ne les connaît pas ou les a abolis, mais il n’en sont pas moins des vecteurs permettant des développements comptables ou fiscaux prêtant à des applications originales et fructueuses.

Le but étant évidemment toujours que le client évolue dans un univers juridiquement sécurisé, et que les solutions mises en œuvre génèrent pour lui un résultat financier particulièrement profitable.

Dans un article ultérieur, nous vous soumettrons un ou plusieurs exemples des gains respectivement des pertes selon lesquelles aura été mise en œuvre une solution internationale ou non.

A bientôt donc…